*Comment avez-vous eu l’idée de vous lancer dans la sculpture?*
Elève au Lycée Technique Omar BONGO, je faisais déjà de la sculpture et un jour mon proviseur m’interpella à cause du poids que je portais dans mon sac. Il découvrit que je sculptais la pierre de Mbigou. En effet, je sculptais et revendais la pierre de Mbigou pour aider ma sœur qui m’élevait à subvenir aux besoins de la famille.
La réaction de Monsieur Janvier NGUEMA MBOUMBA me découragea car il me demanda ce que je cherchais encore à l’école car ma place n’y était plus. Ce dernier commanda quelques pierres de Mbigou. Aujourd’hui je comprends mieux ce que mon proviseur voulait me dire, j’avais déjà des atouts pour créer une entreprise.
*Quelles sont les difficultés auxquelles vous avez fait face ?*
Je me suis retrouvé dans l’alcool et découragé car j’avais arrêté l’école. J’ai passé des moments très difficiles. J’ai ouvert un atelier en face du ballon d’or qui a fait faillite puis je me suis déporté à Lambaréné où j’ai ouvert un autre atelier qui a fait faillite aussi.
Durant mon séjour à Lambaréné je devais aller chercher des pierres de Mbigou assez loin avec un sac traditionnel appelé « moutété », ce n’était pas chose facile. Je me souviens qu’un jour alors que je rentrais avec des pierres à tailler, j’ai rencontré des occidentaux curieux de savoir ce qu’était ce sac particulier.
*Présentez-nous votre atelier et votre travail*
Notre atelier est composé d’un lieu de stockage de matière première, un lieu de transformation et la façade qui sert de lieu d’exposition.
Le travail sur une œuvre se fait en deux grandes étapes : la sculpture et le ponçage ou finition. Aujourd’hui avec l’expérience je suis à mesure de réaliser une dizaine d’œuvre de petite taille par jour.
*Quel serait votre mot de fin et encouragement ?*
En effet, plusieurs personnes en regardant votre interview prendront conscience qu’il est possible de réussir avec ses dons et talents.
Le Gabon n’a jamais été aussi en forme qu’aujourd’hui car nous sommes dans l’essor vers la félicité. J’ai vécu une vie difficile caractérisée par plusieurs tumultes et j’aimerai encourager les jeunes qui sont dans la rue, dans les prisons ou ailleurs qu’il est possible de s’en sortir.
Pour ma part, cela est dû à deux principaux facteurs :
retrouver la confiance que j’avais perdu auprès des homme et, mettre en valeur le don que j’avais reçu.
J’encourage aussi les parents qui ont des enfants qui tâtonnent à l’école à les orienter vers des métiers pratiques et je me dispose même à former des jeunes qui voudraient se lancer dans la sculpture. L’État doit aussi accompagner les jeunes en favorisant le développement des entreprises individuelles des
Je veux marcher comme Tu as marché Je veux aimer comme Tu as aimé Sur la route, malgré les coups Tu n’as pas répondu aux injures Alors qu’on crachait sur Ta figure Tu as méprisé les clous Quand Tu m’as aimé plus que tout
Walk in love, marche dans l’amour Oui, je veux marcher chaque jour dans ton amour Car la miséricorde triomphe du jugement Triomphe même de la mort Oui, l’amour triomphe encore Walk in love, marche dans l’amour Quelque soit le poids des blessures l’amour triomphe toujours Walk in love, je marche dans son amour
Je fais le vœu de ne plus juger Je fais le choix de tout pardonner Oh je veillerai sur ma bouche Je veux marcher comme Tu as marché
Je veux aimer comme Tu as aimé Quand Tu t’es donné pour moi Quand Tu m’as aimé à la croix
Ne perds pas espoir ! Je sais que parfois tu as des envies de suicide mais ce n’est pas la bonne option. Pourquoi tu penses que c’est fini ? C’est vrai tu as fait des études, tes parents t’ont envoyé à l’école pensant que tu devais avoir un travail après tes études cependant, la réalité d’aujourd’hui est toute autre. Tu es déprimé(e) et tu as l’impression que l’Etat, les professeurs et tes parents t’ont menti, tu es frustré(e). Tu as des enfants et tu te demandes si tu dois continuer à les envoyer à l’école.
Ne t’inquiète pas, il y a une suite, il y a la possibilité de se relever.
Quelqu’un d’autre peut se dire qu’il n’a pas étudié, qu’il n’a pas de qualification. Tes parents n’ont pas eu les moyens de payer ta scolarité et aujourd’hui tu es sans emploi. Tu te dis que tout est fini et qu’il n’y aura pas de meilleurs jours.
Ne perds pas espoir, il y a un avenir.
Nous allons aujourd’hui à la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurance rencontrer un géant qui a accepté de nous recevoir et partager son histoire. Il s’agit de monsieur YABEMBA MAYILA Guy Patrick.
Qui est Monsieur YABEMBA MAYILA Guy Patrick ?
Je suis un administrateur économique et financier diplômé de l’Institut de l’économie et des finances, et contrôleur financier au niveau de la CIMA qui regroupe quatorze pays africains et la France.
Comment en êtes-vous arrivé là ?
C’est une question de destin qui ne peut s’accomplir qu’avec le concours de soi. Je vous partage mon expérience pour mieux comprendre de quoi il s’agit.
J’ai obtenu un bac C maths-physiques après mon parcours secondaire et obtenu une maîtrise en gestion et administration des entreprises. Puis j’ai entamé le 3ème cycle en économie monétaire internationale ensuite j’ai obtenu le concours d’entrée à l’IEF et je suis sorti de là administrateur économique et financier. Mais tout cela n’a pas été facile.
Avez-vous connu le chômage ?
Au sortir de ma maîtrise et mon 3ème cycle, le monde du travail m’était fermé. J’ai passé trois ans et demi au chômage, sans emploi mais diplômé. Après beaucoup de recul, cette expérience m’a appris que la vie n’est pas toujours aisée mais il faut savoir utiliser ce qu’on a appris pour s’en sortir.
Comment avez-vous fait pour tenir durant ces trois années et demie de chômage ?
J’ai utilisé le potentiel acquis durant ma formation et ma personnalité. Chaque individu a une personnalité, malheureusement plusieurs ne sont pas conscients de leur personnalité. J’ai eu la grâce de valoriser ma personnalité pour avancer et d’intégrer le capital connaissance que j’ai acquis au cours de ma formation. Ayant suivi des cours de gestion à la base et ayant un fond scientifique, je ne me suis pas laissé faire. Il y a un adage qui dit que « la vie est un combat » et il faut, lorsque nous sommes confrontés à de telles difficultés, y faire face. C’est fort de cette analyse que je me suis remis en question. Je me suis dit que si l’Etat ne m’utilise pas, moi-même je le ferai. Ainsi, j’ai dispensé des cours dans plusieurs établissements supérieurs et j’ai lancé un commerce de vente de madeleines. Pour un Gabonais lambda c’est gênant mais je ne me suis pas découragé et j’ai même supporté certaines de mes charges avec les revenus des madeleines.
Cela voudrait dire qu’aujourd’hui encore on peut vendre des madeleines pour s’en sortir ?
Oui, on peut espérer. Il n’y a pas que les madeleines. Vous voyez quand vous voulez vous affirmer dans la société il faut adopter une attitude qui nous amène à identifier des besoins autour de vous et les satisfaire. Pour mon cas de figure c’était les cours dispensés et la vente de madeleines.
Si je comprends bien un jeune qui a suivi une formation peut utiliser sa formation, sa personnalité et étudier le marché en vue de se positionner ?
Oui c’est exact. Si vous avez un savoir-faire il faut le mettre à profit. Vous devez utiliser votre savoir afin d’apporter des solutions en contrepartie d’une rémunération. Ce revenu peut vous permettre de vous déployer et de vous réaliser. Les jeunes aujourd’hui recherchent la voie de la facilité c’est pourquoi il me plaît de partager cette expérience, celle d’un homme qui finit ses études et se retrouve au chômage mais ne se laisse pas faire. Il utilise ce qu’il sait faire pour s’en sortir et même se réaliser.
A vous entendre, est-ce qu’on doit comprendre que la vie est un cheminement, que malgré le chômage on doit utiliser son savoir, suivre le cheminement et ne pas se laisser abattre ?
Tout à fait ! La vie est un cheminement. Prendre la vie comme une fatalité nous amène à poser des actes réprimés par la société par contre, ne pas subir la vie nous amène à réfléchir et trouver des activités qui permettront de se réaliser dans la société.
Certains discours sur les réseaux sociaux poussent à croire que nos petits frères qui sont en Terminale nous retrouveront au chômage.
Il y a de l’espoir. Je vais du principe qu’on ne peut pas être bien formé et subir. Si vous êtes bien formé vous avez déjà le capital nécessaire pour vous frayer un chemin. C’est plutôt la mauvaise approche de la compréhension de la notion du travail qui pose problème. Dans notre arrière-plan, ce que les aînés nous ont laissé et dans l’approche française des choses, nous définissons le travail comme étant assis derrière un bureau à examiner des dossiers. Hors le travail est tout autre. Je le définirai comme être capable d’exercer une activité génératrice de revenus à partir de ses mains et de sa tête. Malheureusement nous nous sommes écartés de cette définition simpliste du travail. Nos aînés comment faisaient-ils ? Ils étaient dans les champs, à la pêche ou la chasse et ce qu’ils produisaient constituait l’essentiel de leur richesse. Est-ce qu’ils se retrouvaient dans une entreprise ou derrière un bureau ? Malheureusement, cette compréhension semble disparaître et c’est pourquoi il y a beaucoup de chômeurs.
Je crois que les parents ont aussi leur rôle à jouer pour encourager leurs enfants à se lancer dans l’entrepreneuriat. En effet, plusieurs parents mettent l’accent sur l’aspect de l’école ou des études pour obtenir un travail et banalisent l’entrepreneuriat.
En effet, cette manière de pensée est courante bien qu’elle n’est plus d’actualité. C’est la vieille école et nous devons changer de paradigme car tant que nous y serons, les choses ne changeront pas. Le chômage dans notre contexte est psychologique, il est culturel. D’aucun pense que travailler c’est être dans un bureau, être embauché à la fonction publique ou dans le privé.
Quel serait votre mot de fin pour cette interview ? Qu’est-ce que nous pouvons retenir ?
Je résumerai mes propos sur trois axes.
– Capitaliser et valoriser la formation que nous acquérons. Aujourd’hui, les jeunes se forment pour les notes non plus pour les connaissances à cause de cela ils ne sont plus pertinents sur le marché du travail ;
– Se distinguer dans la société par le savoir que nous avons acquis. C’est à partir de ce savoir qu’on peut se frayer un chemin, qu’on peut maîtriser la vie. Or quand on ne l’a pas, on finit par chercher des solutions rapides. Ces dernières ne conduisent pas à un développement durable. Ainsi, je demanderais aux jeunes de revoir leur approche au niveau du savoir et valoriser ce qu’ils ont comme potentiel ;
– Ne pas être pressé. Je suis un bantou et j’aime souvent revenir à la source, il y a un adage chez nous qui dit que « lorsque vous prenez une soupe chaude, elle vous brûle le palais. Il faut un peu de patience et attendre que cette soupe refroidisse». Nous prenons des décisions, nous agissons vite, nous sommes vite découragés et malheureusement nous subissons la vie. Dans mon parcours j’ai dû attendre avant de trouver un emploi et même être promu. En effet, j’ai fait quinze(15) ans chargé d’études.
La gestion du temps : un véritable casse-tête. Chaque matin on pense avoir assez de temps pour…. Mais à la fin de la journée on est troublé de voir qu’on a manqué de temps. En fait, a-t-on vraiment manqué de temps ? Ou avons-nous tout simplement manqué d’organisation?
Voici quelques points pour bien organiser son temps de travail :
1- la veille il faut visualiser votre journée de travail. Vous devez avoir une idée claire de vos activités du jour ;
2- classer chaque activité en fonction de son importance. Chaque activité nécessite un temps bien précis et a son importance. Afin de ne pas se disperser il est important d’organiser et coordonner les activités du jour dans une liste journalière ;
3- prévoir une marge d’erreur. Parfois les imprévus peuvent surgirent et on peut passer plus de temps que prévu sur une activité ou ne pas être en mesure de la réaliser ;
4- demander de l’aide. Il faut reconnaître ses limites et avoir l’humilité de demander de l’aide au lieu de perdre du temps à essayer de résoudre un problème qu’on ne comprend pas.
Si la veille tu parviens à visualiser ta journée, coordonner et organiser tes activités, prévoir des imprévus et demander de l’aide lorsque le besoin se fait sentir, tu auras de meilleurs résultats.
Ta souffrance émotionnelle est réelle je comprends.
Tout le monde a l’impression que tu es épanoui. Les autres te regardent avec admiration, s’ils pouvaient savoir! Et quand tu ouvres la bouche pour en parler on banalise ta souffrance comme si tu ne devrais pas en souffrir.
Je te comprends, ne t’inquiètes pas je te comprends.
Tu sais les souffrances émotionnelles encore appelées les souffrances de l’âme sont imperceptibles à l’œil insensible. Les souffrances émotionnelles sont qualifiées d’invisibles car contrairement aux souffrances physiques on ne peut pas les percevoir. On peut facilement voir le pied cassé de la personne en face, on peut voir la joue enflée mais on ne peut pas facilement percevoir le mal-être de la personne en face.
On te demande d’être plus forte sans chercher à te comprendre.
On te juge sans t’écouter.
Tu as l’impression d’être étranger dans ta propre vie.
Tu as l’impression que tout t’échappe.
Tout ira bien, si tu as besoin de dépasser cet étape, envoie-moi un message WhatsApp.
Généralement nous sommes admiratifs devant les couples qui durent dans le temps. On pense que tout est rose. Cependant il y en a certains qui ne sont plus des couples depuis longtemps. Ne confondez pas la cohabitation et le couple.
Ainsi c’est quoi la différence entre le couple et la cohabitation ?
D’abord, on peut définir le couple comme une union consentante entre deux personnes. Ici les personnes acceptent de marcher dans la même direction et avoir des objectifs communs. Mais dans la cohabitation, les conjoints ne sont pas obligés d’avoir la même direction ou des projets en commun.
Ensuite, le respect mutuel lorsqu’on est en couple est un devoir car il y a des attitudes et des habitudes que l’on ne peut plus avoir. On pose chaque acte en pensant à l’impact que cela aura sur l’autre et son image. Or dans la cohabitation, on pense essentiellement à soi, on sort et rentre comme on veut, on dépense comme on veut.
Enfin la complicité dans le couple se crée par le partage des activités, des secrets, des moments de qualité, etc… . Par cela le couple est uni. Par contre dans la cohabitation nous ne sommes pas obligés de partager notre intimité et cela favorise une forme de distance entre les deux personnes.
Après la lecture de ce texte es-tu en couple ou en cohabitation ?
Devenir un entrepreneur à succès, le rêve pour tout les entrepreneurs.
Mais est-ce possible sans DIEU?
L’or, l’argent et le succès appartiennent à DIEU, c’est Lui qui a la possibilité de changer le destin selon son bon vouloir.
Pour devenir un entrepreneur à succès il est important de rester dans le « là » de DIEU. Ici, nous entendons le fait de rester là où Il nous a appelé.
Une fois dans notre couloir nous devons tout d’abord travailler davantage, procéder à des recyclages en vue d’améliorer nos compétences et la qualité de nos services.
Puis, demander sans cesse des orientations à DIEU car c’est Lui qui sait ce qu’il y a de mieux pour nous.
Ensuite, nous devons être reconnaissant pour toutes les victoires aussi infimes soient elles sans oublier de faire des dons et des offrandes autour de nous. En effet, DIEU honore ceux qui l’honorent et rendent grâce en toutes circonstances.
Enfin, il est important d’être patient.
Après avoir observé toutes ces étapes, DIEU se chargera du reste.
Normalement en famille on devrait se sentir valorisé et en sécurité. Cependant, dans certains cas on se sent rejeté, méprisé, dévaloriser ; penser à se retrouver en famille peut même créer un stress, une souffrance émotionnelle.
Aujourd’hui, nous allons partager avec vous quelques signes d’une famille toxique.
*Les signes d’une famille toxique*
*Violence :* la violence peut prendre différentes formes dont la violence physique et celle qui est psychologique.
La violence physique consiste à infliger à l’autre des blessures corporelles par des actes qui peuvent être perçues comme des sanctions. La violence psychologique quant à elle, affecte l’esprit et les émotions de la victime. Elle peut inclure des insultes, des menaces, de l’intimidation, et des comportements visant à dévaloriser ou à contrôler la victime.
En fait une personne peut se taire, ne jamais manifester de signes d’affection ni d’intérêt sur les actions que vous posez mais décide délibérément d’employer le verbe seulement pour vous faire des réprimandes.
*La manipulation émotionnelle :* C’est une forme de violence psychologique qui désigne le fait pour une personne d’utiliser la grande compassion, le désir de justice ou de porter secours de l’autre pour ses intérêts. Elle peut se manifester par la culpabilisation, l’isolement, le chantage émotionnel ou la victimisation.
*La jalousie :* les membres d’une famille sont constamment en concurrence les uns avec les autres. L’un peut affirmer que sa voiture est plus belle que celle de son frère par exemple ou souhaiter que son frère n’ait pas de promotion de peur d’être dépassé. On fait semblant de s’aimer mais en réalité on a du mal à se supporter.
*L’hypocrisie :* dans une famille toxique l’hypocrisie peut se manifester de plusieurs manières, par exemple en faisant semblant de se réjouir de l’élévation de l’autre tandis que les pensées du cœur nourrissent des sentiments négatifs.
*L’absence de soutien :* on ne peut compter que sur soi-même, mon frère ou ma sœur ne peut pas prendre soin des miens. Tu peux aussi, te rendre compte que tu es la seule personne qui pense à tout le monde.
Les familles toxiques deviennent de plus en plus nombreuses, travaillons pour améliorer nos rapports les uns avec les autres. Construire une nation forte commence d’abord par construire une propre famille avec des valeurs fortes. Nous pouvons y arriver par la grâce de DIEU, lève-toi et réussi !
Je suis ma plus belle opportunité et tu es ta plus belle opportunité. Tant que tu ne le réaliseras pas, tu ressentiras toujours de la frustration et auras l’impression que ta vie n’avance pas par rapport à celle des autres. Il est essentiel de comprendre qui tu es et de partir à la rencontre de ton moi intérieur.
Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que tu dois apprendre à mieux te connaître en explorant tes valeurs, ton savoir endogène et exogène, tes compétences, ainsi que ta vision de la personne que tu veux devenir. La connaissance de soi te fera réaliser qu’il y a un travail à faire sur toi-même pour atteindre tes objectifs, et cela nécessitera des sacrifices.
Tu es ta plus grande opportunité et travailler sur toi-même peut te donner accès à d’autres opportunités. Souvent, nous recevons des offres qui nous conviennent, mais auxquelles nous ne répondons pas aux critères en raison d’un manque de qualifications ou de compétences. Il est temps de se réveiller et de devenir le géant que tu veux être.
Papa, ça fait combien de temps que n’as-tu pas vu ton fils, que tu n’as pas vu ta fille ? Maman, pourquoi tes enfants ne s’entendent pas ou semblent s’entendre ? Pourquoi tu acceptes la division dans ton ventre ? Ça fait combien de temps que tu n’as pas vu tes filles ? Ça fait combien de temps que tu n’as pas vu tes fils ? Pourquoi vous occasionnez la division ? Pourquoi vous acceptez la division ?
Lorsqu’on n’est pas uni dans la famille, on ne peut pas prétendre aimer sa nation ou prétendre construire le pays. Lorsque les enfants n’arrivent pas à vivre ensemble , par exemple si les enfants d’OKOME n’arrivent pas à vivre ensemble, ils ne pourront pas aimer les enfants de KOUMBA juste à côté ! Parce qu’ils ne connaissent pas l’amour. Maman, qu’est-ce que tu fais pour encourager l’amour , quel est le plan que tu as prévu pour rassembler tous tes petits-enfants tels qu’ils sont ! Papa, Maman, pourquoi vous encouragez la division ? Pourquoi vous acceptez la division ?
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