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Les aptitudes d’un grand entrepreneur

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Faire des affaires demande certaines aptitudes parmi lesquelles :

La maitrise de soi ; la patience ; la prudence ; la confiance en soi et aux partenaires et collaborateurs.

La maitrise de soi

Pour parler de la maitrise en soi, il va falloir que tu apprennes à contrôler tes émotions, tu ne dois pas te laisser abattre par les difficultés. Tu seras emmené à rencontrer des clients qui vont vouloir te faire perdre le contrôle. Est–ce pour autant que tu les suivras ? Tu dois donner l’impression que c’est toi qui donnes la direction à suivre et qui fixe les règles. Un concurrent, une jupe trop courte, un torse musclé, ne doivent en aucun cas te faire flancher. Parce que tu peux résister à une tentation pendant 20 ans, sans que personne n’en soit informé, ou ne t’encourage. Il suffira un seul jour de faiblesse pour détruire ce que tu as bâti en 20 ans.

La patience

Il faut être très patient en affaire.  Ne pense pas que tout sera facile parce que tu as eu une idée en or. Finaliser cette idée peut prendre des années.  Elle évoluera à l’image d’une plante qu’il faudra mettre en terre, l’arroser chaque jour pour la voir germer et fleurir. Soit patient, tu verras ton idée en or germée.

Avoir de confiance en soi

Pour réussir dans les affaires, tu dois absolument avoir confiance en toi, ainsi qu’à tes partenaires et collaborateurs. La première personne à séduire et à convaincre, c’est toi-même. Un bon capitaine ne saurait diriger son bateau s’il n’est pas convaincu de le conduire à bon port. Devant les difficultés, tes partenaires, tes collaborateurs, fournisseurs auront les yeux tournés vers toi et tu devras les convaincre, et poser les actes qui les persuadent de la nécessité de ton projet. Car : «  le leadership, c’est avoir confiance et donner confiance autour de soi » Nicolas de Tavernost, homme d’affaires (1950)

Faire confiance aux autres

Comment être omniprésent, comment assurer toutes les transactions sans jamais avoir recours au concours d’une autre personne ? Je pense que cela est impossible. À un moment donné, tu délégueras certaines des responsabilités à tes collaborateurs pour te consacrer à d’autres tâches. En claire, lorsque vous vous unissez, vous allez plus loin, sans pour autant pas oublier d’être vigilant.

Saisis ton opportunité !

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Photo by Towfiqu barbhuiya on Unsplash

Mbolo (bonjour),
Regarde devant toi tant d’idées inexplorées ou à améliorer.
Tu as l’occasion de faire mieux. Rejette tes peurs. Ça fait combien de mois que tu tournes en rond, sans avoir l’impression d’avancer.
Ton projet est coincé dans un coin de ta tête. Pourquoi tu peines à le réaliser ? A force de trop attendre, une autre personne plus déterminée que toi le réalisera sous tes yeux.
Tu es amoureux d’une personne, mais tu n’arrives pas à déclarer ta flamme, surtout qu’elle ressent également du béguin pour toi. Saisis l’opportunité qui se présente à toi, avant que ce ne soit trop tard.
Pourtant ton projet de construire ta maison est dans ta tête, mais par manque de volonté, tu n’arrives pas à le réaliser. N’es-tu pas fatigué de payer la location chaque fin de mois ? Et que laisseras-tu à ta progéniture s’il t’arrivait malheur ? Saisis ton opportunité et commence tes travaux pierre par pierre.
Tu répètes à longueur de journée que : « Je vais bientôt commencer mon business ». Mais toute la placette se demande si un jour tu mettras ton plan à exécution, pourtant les idées ne manquent pas.
Pourquoi ne saisis-tu pas ton opportunité ?

  • Est-ce la peur de rencontrer l’échec qui te retient ?
  • Le regard d’autrui ?
  • La peur de ne pas être à la hauteur ?
    Il est préférable de vivre avec le sentiment d’avoir osé quelque chose au lieu de vivre avec la culpabilité de n’avoir même pas essayé.

Tu veux entreprendre et tu ne sais comment procéder ?

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Tu veux entreprendre et tu ne sais comment procéder ? Ce texte, en quatre étapes peut t’aider à t’en sortir dans ton entreprise.
1- L’observation de son ‘’moi’’ profond
Savoir qui je suis : dans cette étape, tu dois aller à la rencontre de tes origines, de ta culture, afin de savoir ce que tes ancêtres ont pu accomplir des millénaires avant toi. Ces exemples peuvent également te servir à renforcer et à force dans ce que tu souhaites entreprendre.


2- Qu’elles sont mes connaissances, mes compétences et mes ressources ?
A cette question, tu dois être sincère en répondant aux questions suivantes : quelle est ma formation, qu’ai-je appris aux côtés de mes grands-parents, de quel budget dispose je ?


3 – L’observation du marché
L’observation du marché consiste à faire une étude de faisabilité qui voudrait que l’on sache quelle est la marchandise qui s’écoule facilement et qui produit un bénéfice conséquent.


4 Lance-toi
Lance-toi sans trop attendre ! Si tu attends de disposer du capital conséquent, tu n’y arriveras jamais. Aie le courage de te lancer, les moyens suivront. Arrête donc de trouver des excuses et lance-toi.
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Pourquoi les Gabonais n’entreprennent pas ?

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Itchiama Wè buni ndjurigi ? (bonjour comment vas-tu : en langue téké)
Il y a peu, j’avais posé la question de savoir : pourquoi les Gabonais n’entreprennent-ils pas ?
A cette question, plusieurs ont répondu qu’ils leur manquaient de la détermination, de la volonté, du courage et de la patience…
Réponse qui m’a poussé à une analyse profonde de la situation, et voilà ma réponse :
En remontant l’histoire des peuples, il convient de constater que, contrairement à nos frères Ouest-africains qui sont nomades et sont amenés à parcourir des villes étrangères, bravant tous les dangers, à dos de dromadaires ou à pied, pour écouler leurs marchandises, le Gabonais, quant à lui, est d’origine Bantu, un peuple sédentaires qui vit paisiblement de sa chasse, de son agriculture, de sa pêche et du troc.
Le Gabonais s’expose ainsi moins aux risques pour écouler ses produits qu’il récolte de sa terre natale, du poisson qu’il pêche dans sa rivière, du gibier qu’il tue dans sa forêt (rire).
Avec la mondialisation, le Gabonais a eu besoin de la connaissance. Il fut dans l’obligation de fréquenter l’école du blanc où il obtint des diplômes. Conséquences : Il a transposé le champ, la pêche, la chasse et le troc à des emplois à la Fonction publique ou dans des entreprises.
En fait, avoir un emploi procure au Gabonais la même sécurité qu’autrefois. Quand une Gabonaise (sédentaire) plantait, elle savait qu’elle va récolter et pourrait le vendre ou le troquer. Mais quand un Peulh (nomade) se déplaçait pour vendre son produit, elle va avec l’espoir de l’écouler, non sans appréhension et crainte de ne pouvoir le faire. Fort de cet exemple, il convient de dire que le sédentaire (Gabonais) a hérité de ses ancêtres de la sécurité, de la stabilité. Le risque de prendre des initiatives n’est pas dans les gènes des sédentaires (Gabonais).
Mais Titans, tu dois te lever et prendre ta vie en main, en prenant des initiatives. La Fonction publique n’est plus un gage de sécurité de l’emploi. La preuve, depuis un certain temps, les embauches sont gelées, parce que tous les Gabonais aspirent à être fonctionnaires. D’où le chômage galopant observé dans le pays. Chômage qui oblige le Gabonais à devenir mendiant, parasite et un point mort pour sa famille.
Titans, épargne-toi de cette situation avilissante et bats-toi pour ton avenir.